Quantcast
Channel: Sare
Viewing all 1446 articles
Browse latest View live

Les bénévoles remerciés par la municipalité

$
0
0


2001564_973_10214062_800x400.jpg

Les bénévoles récompensés et les élus. photo t. j.

La municipalité de Sare a reçu le mardi 30 juin les bénévoles de l'aide aux leçons ainsi que les intervenants des nouvelles activités périscolaires.

Marie-Héléne Oronoz, adjoint aux affaires sociales, a dit toute l'utilité et l'importance de leur engagement pour la commune, les élèves et leurs parents avant de clore leur année scolaire devant le verre de l'amitié.

T. J.


Kermesse paroissiale; Dimanche 12 juillet

$
0
0

-10h30 messe
-11h30 partie de pelote
A partir de 11h30 vente de portions à emporter
-12h30 repas
-16h30 partie de pelote

Menu
- Soupe, melon-jambon
- Poule au pot-riz
- Salade-Fromage
- café txotx-vin

Adultes : 18€
Enfants : 08€
Toute la journée vente de gâteau, bar, ateliers, vide grenier

« Sur les traces de la pelote jusqu'en 1960 »

$
0
0

 

 Médiathèque de Bayonne 

« Sur les traces de la pelote jusqu'en 1960 »; Exposition; 9 juin − 29 août 2015 

Les pelotaris par Tobeen 

Un été très sport ! 

Depuis quelques années, lors de la période estivale, la Médiathèque propose un focus sur un sport sous un prisme historique, littéraire et artistique. Après le rugby (2007), le vélo (2010), la tauromachie (2012), le surf (2014), nous vous invitons à (re)découvrir le monde de la pelote. 

Grâce aux nombreux livres, photographies, cartes postales, affiches, dessins, gravures, complétés de presse locale, tous documents issus de nos collections - près d’une centaine sont présentés - revivez l’histoire de ce jeu devenu sport, admirez ses joueurs, héros légendaires, retrouvez ses « temples », identifiez ses instruments. 

La pelote a inspiré de nombreux artistes et écrivains : de Tillac ou Tobeen à Daragnès, d’Harispe ou Elissague à Loti, tous ont exprimé leur passion pour la pelote, sport emblématique du Pays basque. 

Cette exposition patrimoniale, complétée des panneaux didactiques et d’objets mis à disposition par la Ligue de pelote du Pays basque, et enfin d’une exposition photographique de Cédric Pasquini à la médiathèque Sainte-Croix, sont ouvertes à la visite du 9 juin au 29 août. 

Pendant cette même période, un café histoire, un café art, une table ronde, une conférence, des démonstrations et des ateliers ponctueront votre été. 

Isabelle Blin, conservateur en chef 

Un peu d’histoire 

Héritière des traditionnels jeux de paumes, la pratique de la pelote basque se développe, précise son fonctionnement et s’organise dans la seconde partie du XIXe siècle. Si le nom désigne en fait plusieurs types de jeux, différents selon les instruments utilisés, les terrains et les règles, il renvoie cependant toujours à une pratique tout à la fois sportive et culturelle, profondément ancrée dans la tradition et l’identité basques. 

Ainsi, dans presque tous les villages, la place principale (« plaza ») est aussi le terrain où la pelote se joue (« cancha »). Les parties sont des moments de sociabilité, qui rythment la vie des communautés. 

Pendant la Troisième République, cette véritable institution qu’est la pelote basque devient un enjeu du conflit d’influence entre l’Église et l’État qui tentent d’encadrer et de promouvoir sa pratique, organisant des clubs et des compétitions. 

« Parmi nos symboles traditionnels la Pelote est à coup sûr le plus clair et le plus vivant. Devant le mur où se fixent les regards, le temps avec ses contradictions et avec ses ruptures est aboli : le présent et le passé se confondent. Oui, vraiment, nous prenons conscience de nous, de notre durée. ». (Abbé Bordachar, 1926). 

Dans la société basque, les pelotaris (ou pilotaris en basque) occupaient une place privilégiée dès le XVIIe siècle, comme en témoignent deux stèles discoïdales datant de 1629 et 1784 où des symboles de la pelote basque sont gravés. (ci-contre, stèle de 1784, issue de La tombe basque, de Louis Colas, où l'on remarque une pala sous la date) 

C'est également à la fin du XIXe siècle que se prépare un autre grand bouleversement dans l'histoire de la pelote avec l'avènement du caoutchouc. Le jeu indirect, à blaid1, jusqu'alors peu pratiqué, prend une telle ampleur qu'il éclipse pendant quelques années les jeux plus traditionnels. Malgré l'interdiction peinte sur les murs de rebot2, les jeunes pelotaris3, combinant le chistera d'osier4 et la pelote5 à noyau en caoutchouc, subliment cette forme de jeu indirect. Cette véritable révolution scandalise les anciens. Elle est menée par une nouvelle génération de joueurs qui, à partir de 1880, propulsent la pelote basque hors des frontières du Pays Basque. 

Stèle funéraire 

1 Pelote basque pratiquée contre un mur (jeu indirect par opposition aux jeux directs où les joueurs se font face, comme au laxoa ou au rebot) 

2 Ce jeu se joue en plein air sur un fronton en place libre. Il oppose deux équipes de cinq joueurs qui se font face de part et d’autre d’une ligne 

tracée qui délimite deux camps inégaux... 

3 Joueurs de pelote 

4 Gant de cuir prolongé par un panier en osier de forme courbe et allongée 

5 Balle ronde, différente selon les spécialités jouées et selon les instruments. 

À partir de 1880, l'installation de 80 000 Basques en Amérique du Sud entraîne la construction de frontons dans tous les villages. Dans le même temps, d'autres Basques émigrent vers les Antilles, Cuba, Saint-Domingue et les pays d'Amérique centrale comme le Mexique et le Venezuela. Aujourd'hui tous ces pays possèdent une fédération et participent, à des degrés divers, aux compétitions mondiales. 

À cette même période, rien n'est encore codifié, la tradition orale est la règle : les équipes se mettent d'accord avant le match sur le poids des pelotes. Le défi entre joueurs de différents villages – et les parties à l'occasion des fêtes locales, servent de compétition. 

Au début du XXe siècle, en 1912, le congrès des pelotaris soumet l'idée d'une fédération de pelote basque. Celle-ci aura pour objectif de développer, de diriger, et de réglementer ce sport en France. Après 1918, la pelote est en pleine décadence, due à l'hécatombe des jeunes gens et à la misère des campagnes, suite à la Grande Guerre, mais aussi à l'anarchie de la pratique. 

Durant l'Entre-deux-guerres, le jeu se transforme en sport et coup sur coup sont créées dans les années 20, la Fédération Française de Pelote Basque (FFPB) et la Fédération Internationale de Pelote Basque (FIPV). 

La fédération de pelote qui va s'efforcer de constituer ce jeu en sport, d'homogénéiser les règles, le poids des pelotes, de diminuer la durée des parties, est organisée par un homme politique de la droite conservatrice, Jean Ybarnégaray, et par des prêtres basques qui ont considérablement transformé les moeurs. Dans un premier temps la pelote possédera une idéologie très conservatrice avec des tendances xénophobes, comme en atteste l'allocution de Pierre Lhande prononcée à l'église de Mauléon en 1923, en prélude aux fêtes de la fédération de pelote, l'équivalent du championnat de France. « Un jeu national n'est pas un divertissement quelconque. C'est une manifestation du ressort physique et moral d'une race, c'est la révélation éclatante de tout ce qu'un peuple renferme de fort dans sa beauté plastique, de sain dans sa beauté morale. Le jeu national traduit l'énergie, l'endurance, la grâce de la nation. (…) C'est l'Angélus. Aussitôt, la balle expire dans le berceau du gant d'osier. Le bras tendu dans un effort menaçant s'abaisse désarmé, et cet homme qui tout à l'heure n'a pas condescendu aux bravos jusqu'à saluer obséquieusement la foule, comme ferait un ténor d'opéra, cet homme qui ne se découvre que devant son Dieu vient d'abattre son béret. Il prie. Il prie comme il a joué tout à l'heure, sans forfanterie et sans phrase, noblement, simplement. » 

(Gure Herria, octobre 1923, « Notre jeu national » par Pierre Lhande). 

Le 3 janvier 1921, c'est le député Jean Ybarnegaray qui crée à Bayonne la Fédération Française de Pelote Basque (FFPB). Depuis 1921 la pelote basque est dirigée par une fédération qui regroupe l'ensemble des ligues régionales. 

C'est certainement au travail de réglementation de la FFPB que l'on doit en partie le renouveau de la pelote. 

Les jeux olympiques se déroulent à Paris en 1924, et la pelote est alors retenue comme sport de démonstration (comme en 1968 à Mexico et en 1992 à Barcelone...) 

La pelote s'est disséminée à partir de son territoire naturel, le Pays basque, dans toute la France. Le Béarn et le sud des Landes proches, connaissent la plus grosse activité. Ensuite viennent deux métropoles : Bordeaux et Toulouse ; Paris enfin, et des pôles autour de Lille, de Nice et Cannes. Ajoutons l'île de la Réunion, Saint-Pierre-et-Miquelon et la Nouvelle-Calédonie, qui, malgré leur éloignement participent aux championnats de France. 

 

La Confédération Espagnole est créée en 1925. Le 19 mai 1929, Jean Ybarnégaray signe le « protocole de Buenos Aires », qui est la marque de la Fédération Internationale de Pelote Basque (FIPV). Près d'une vingtaine de pays y adhèrent (France, Espagne, Argentine, Uruguay, Mexique, Philippines, Cuba, Italie, Chili, USA, Bolivie, Venezuela, Brésil, Guatemala, Indonésie, Maroc, Pérou, Colombie, Belgique, Équateur, Panama, ... ). Les statuts sont adoptés le 2 mars 1930 à Espelette, par les représentants de la France et de l'Espagne. (Voir photo ci-dessous). Le siège de la FIPV est à Pampelune depuis 2003. Aussitôt fondée, la Fédération Internationale reste en sommeil jusqu'en 1945, en raison de la guerre d'Espagne et de celle de 1939-1945. Les contacts sont repris fin 1945, avec la tâche énorme de réglementer les jeux, les aires, le matériel utilisé, ainsi que d'unifier les règlements et l'organisation des championnats du monde. Ces derniers ont lieu la première fois en 1952 à Saint-Sébastien. 

En 1958 ont lieu à Bayonne-Biarritz-Hossegor, des championnats du monde de pelote (Le Républicain du Sud-Ouest daté du 05 septembre 1958). 

L’artisanat bel et bien vivant

$
0
0

 2014054_131_10251597_800x400.jpg

La sculpture du bois sera présente le mardi matin. © Photo DR

C 'est l'association Arbaso, qui a la responsabilité de l'organisation du marché des artisans créateurs, qui a lieu en juillet et en août tous les mardis, de 9 à 13 heures, devant la poste. On retrouvera sur l'esplanade tout ce qui fait le charme de ce type de manifestation, la rencontre avec des créateurs divers aux productions variées et la découverte de leur savoir faire. Chaque semaine c'est près d'une quinzaine de stands qui s'installeront et proposeront, en fil rouge pour la demi-journée, un focus sur des métiers traditionnels, des compétences particulières.

Un lien avec l'Histoire

Avant le facteur de tambourin à cordes et le fabricant de cordes en boyau le 21 juillet, le tissage et le tricot le 28 juillet, une démonstration de forge aura lieu le 14 juillet pour un marché ouvert jusqu'à 18 h 30.

Ce jour-là, 40 exposants sont annoncés autour de quatre maîtres des forges de Pampelune, histoire de rappeler le lien entre ces équipements et l'histoire de la commune, le quartier Olha notamment. Les plus curieux n'auront pas manqué de remarquer que les forges figurent sur les armoiries du village, symbolisées sous forme de chaudron.

La journée sera animée en permanence avec la découverte de la sculpture sur écorce, la fabrication des instruments de pelote basque, pendant que les enfants pourront participer à des ateliers créatifs.

On peut retrouver l'association sur sa page facebook suivante : marché artisans créateurs. Contact au 06 81 69 20 46 ou arbaso@orange.fr

T. J.

Main nue, ligue

$
0
0

Sare bat Saint-Pée en finale 30 à 19

photo1.jpg

photo2.jpg 

Cinq producteurs de plus

$
0
0

 

2018132_553_10270724_800x400.jpg

 Le marché des producteurs ouvre à 16 h 30 le vendredi.© Photo T. J.

Cela fait maintenant quatre mois que le marché des producteurs a pris place au fronton. Les neuf membres fondateurs de l'association Sarako Merkatua accueillent en ce début de saison et pour toute l'année cinq nouveaux collègues et autant de produits que sont le poisson, le canard frais et en conserves, des légumes issus de l'agriculture biologique, la bière de Larressore et enfin des plantes médicinales et des tisanes.

Avec l'intégration de trois autres producteurs qui participaient déjà au marché estival du village et une place faite aux artisans d'art locaux, la manifestation hebdomadaire prend incontestablement du volume pour compter au cœur de l'été une trentaine de stands. Cette évolution valide l'engouement du public pour ce type d'offre et mérite le détour autant pour sa variété que pour la qualité de son emplacement, sur la place au cœur du village.

Vente directe

C'est l'occasion de prendre le temps de jouer les gourmands, de goûter et d'échanger avec ces producteurs du cru passionnés. Une relation de vente directe en circuit court qui permet, comme le dit un des membres fondateurs du marché Olivier Besson, « de pratiquer des prix justes et d'établir entre nous et le client une relation de confiance ». Tous les vendredis à partir de 16 h 30, jusqu'en octobre.

Thierry Jacob

Forêt, sites de chasse, activités minières

Forêt, sites de chasse et activités minières

$
0
0

La rando de Jean

Chaque mardi, retrouvez une idée de

randonnée décrite par notre expert de Sare, 

Jean Pouyet.

Aujourd’hui, autour des palombières de Sare.

__________________________________

 Ibanteli.jpg

Cairn et boîte à message au sommet, face aux trois couronnes (photo J.P.)

Cette balade pénètre dans la plus vieille forêt de chênes d’Europe, traverse deux sites de l’antique mode de chasse à la palombe aux filets pantières, longe les sentiers noircis des traces de l’extraction de houille et d’anthracite du mont Ibanteli. Un petit pont sur un ruisseau, à Xabalo, mène à la zone de chasse de Sare par un sentier pentu puis à la tour de chasse, en pierre, de Saiberri. On longe, sur le flanc du ravin, la borne 50 puis une autre tour de pierre qui commande la chasse de Lizarrieta à Etxalar (borne 46). Après la descente vers le col de Lizarrieta, un sentier raide Nord-Ouest, grimpe vers le mont Ibanteli, bifurque vers l’Est et les bornes 39 puis 40 (deviner le sens des traits gravés dessus) et atteint la boîte à message du sommet.

Traces de cromlechs

Retour vers le col pour un parcours sur le versant Sud-Est d’Ibanteli. Le sentier porte les traces et des ruines de l’extraction de minerai, descend par une galzada pentue en côtoyant des traces de cromlechs vers la borde Teilariako borda et le départ de Xabalo.

Palombières Sare (45’, alt. 400 ms) ;  tour (1h15, 500 ms) ; Lizarrieta (2h15, 400m) ; Ibanteli (3h, 700m), Xabalo (90m, 4h30). Sentier totalement balisé jaune puis rouge et blanc en Navarre. Facile, environ 13 Km.

Jean Pouyet


Une exposition pour un quatuor basque (avec Michel Hacala)

$
0
0

2023340_162_10299605_800x400.jpgSophie Lacroix et Michel Hacala, Nisa Goiburu et Koldobika Jauregi, les quatre artistes basques de l’exposition « Une nouvelle création basque ».©

photo G. C.

Samedi 4 juillet, le musée de Guéthary fêtait un triple événement. Ainsi, l'établissement a, dans un premier, célébré ses trente ans, grâce au soutien indéfectible de l'association des Amis du Musée, présidée par Yves-Marie Guerlach et à l'ancien maire Jean-Luc Lataillade. C'est elle qui a permis, en 1985, l'installation du musée au rez-de-chaussée de la villa néo basque Saraleguinea.

Situé en haut du parc municipal, le musée accueille différentes sculptures contemporaines dont la dernière est un cadeau d'anniversaire de l'artiste Dominique André : un paraboloïde hyperbolique tout en résine au nom de Sorgi.

La deuxième fête était l'inauguration de la nouvelle salle dédiée aux histoires de Guéthary et à la collection de Georges-Clément de Swiecinski. Enfin, troisième événement : l'ouverture de l'exposition estivale « Une nouvelle création basque ». Quatre artistes reconnus nous invitent dans leurs chemins intérieurs, leurs quêtes d'authenticité, où la nature, la spiritualité et l'humanisme ont leur place.

Des artistes mixtes locaux

Parmi eux, deux femmes, Sophie Lacroix et Nisa Goiburu et deux hommes, Michel Hacala et Koldobika Jauregi, donnant ainsi un mélange de voix du Pays basque nord et sud.

En témoignent les œuvres de la peintre Sophie Lacroix, avec ses foules et ses églises abandonnées aux couleurs d'origine, celles de la terre. Cette dernière s'attarde plus sur la composition que sur la palette, même si avec « Sens dessus dessous », sa peintre apporte une touche plus expressionniste avec un peu de rouge.

Quant à la plasticienne Nisa Goiburu, elle joue avec la toile maillée métallique et les fils de fer ou électriques à l'image de cette réalisation « Despojados de su piel », un quatre mains. Homme ou femme, le masculin et féminin ne font plus qu'un ici. Une autre de ses œuvres, « Gurea dena », une toile métallique, fait ressortir un personnage à la recherche de l'équilibre entre la terre d'où il vient et le cosmos où ses pensées s'envolent.

Art contemporain

De son côté, l'autodidacte graveur et sérigraphe Koldobika Jauregi, exprime, avec ses deux gravures « Campanas » et « Viage », l'universalité de la religion avec ses symboles et ceux aussi de son voyage intérieur côtoyant celui de la vie. Enfin, Michel Hacala, l'enfant de la nature, de la mer et de la pêche, sculpte, façonne le bois ou le verre recyclé, comme avec un bloc de verre ou une dérive de surf.

Sa sculpture en bois de pin « Aurresku » est ainsi une danse d'hommage en mémoire de l'incendie du clocher de l'église de Sare en 2009,

Une exposition « a minima » certes mais mettant à l'honneur l'art d'aujourd'hui, le patrimoine de demain.

Ghislaine Castillon

Sare prêt à chiner

$
0
0

Quelque 150 exposants professionnels ont été déployés dans les rues de Sare ce week-end.

Il n'y a pas deux sans trois à Sare. À l'initiative d'Orfo-Pub, la troisième édition du Kukuku Besta est de retour cette année dans la ville, carrefour entre le Pays basque français et la Navarre espagnole. Cette foire à la brocante se déroulera aujourd'hui et demain à partir de 7 h 30, de la place du trinquet jusqu'au bas du village.

2031361_806_10330185_800x400.jpg

De l’argenterie et de la vaisselle ancienne seront sur les stands de la brocante.© photo J. P.

On y trouvera des antiquités de toutes les époques, de l'art déco au vintage, en passant par tout ce XXe siècle revenu à la mode. La brocante deviendra aussi friperie, avec des vêtements et accessoires pour tous les goûts.

Foire aux « spécialistes »

Comme pour les éditions précédentes, la ville va se munir d'exposants professionnels de tout bord. 150 au total, dont des spécialistes du mobilier du XXe siècle, d'objets de l'économie rurale basque, entre autres.

Même les plus insolites d'entre eux se joindront à cette foire, comme le spécialiste de l'objet culinaire ancien ou celui des antiquités marines.

Arts et littérature à la rue

Et ce, sans négliger la culture. Les sculptures, toiles et livres des artistes basques de renommée internationale vont défiler de part et d'autre des rues de Sare. Les antiquités d'ici et d'ailleurs, toutes réunies dans une ville qui se prépare à chiner.

J. P.

Rendez-vous aujourd'hui dans les rues de Sare de 7 h 30 à 19 heures et demain de 9 heures à 19 heures.

Programme festivités Juillet

$
0
0

 Lundi 20 juillet

21h00. Trinquet Pleka. Démonstration de pelote : pala, main nue et pasaka

Mardi 21 juillet

19h. Fronton. Force et danses basques

Du 21 au 31 juillet

10h. 12h30 et de 16h à 19h30, salle Lur Berri

Exposition de peintures et de sculptures de l’association Larrungo Koloreak (entrée gratuite)

Jeudi 23 juillet

21h30. Église. Chants Basques, avec Saiberri

Vendredi 24 juillet

20h00. Place. Fête de l’association des commerçants : buvette et repas animé le soir ouvert à tous

Samedi 25 juillet

Toute la journée. Place, Concours national des juments et pouliches ; repas sur place et animation

Lundi 27 juillet

19h. Fronton. Partie de pelote. Tournoi de Joko Garbi (lever de rideau avec main nue)

Mardi 28 juillet

21h00. Fronton. Force et danses basques

Jeudi 30 juillet

20h00. Grottes. La nuit européenne de la chauve souris

Pastorale « Pierra Lhande », 26 juillet

$
0
0
L'association « Donibaneko Batzokia » organise, le dimanche 26 juillet, un bus pour se rendre de St Jean-de-Luz à Sauguis où sera donnée la Pastorale « Pierra Lhande », :
Prix du voyage et de l'entrée à la pastorale : 35€. (15€ billet d'entrée+20€ le voyage). Pour que l'inscription soit effective, merci d'établir le chèque de 35€ (par personne) au nom de « Association Donibaneko Batzokia » et de le faire parvenir pour le 18 juillet, au plus tard, à : 
Gaxuxa. Elhorga-Dargains, 
            7, impasse des écoles 
            64500 St Jean-de-Luz
- Le départ se fera de la halte routière  de St Jean-de-Luz, le 26 juillet à 9h30 et le retour à St Jean-de-Luz pour 23h au plus tard.
-Il est conseillé d'emporter son pique-nique
-Pour tout renseignement complémentaire, contacter G. Elhorga-Dargains au 06 06 52 19 08

Uztailaren 26an igandearekin, « Donibaneko Batzokia » elkarteak « Pierra Lhande » pastorala ikusterat joaiteko autobus bat antolatzen du. 
Bidaia eta sartzea 35€ (15€ sartzea + 20€ bidaia)
Izena emaiteko 35€ko, « Donibaneko Batzokia » elkartearen izenean txeka egin, eta uztailaren 18ko berantenez, 
           Gaxuxa Elhorga-Dargainseri, 
           7 eskoletako atekamotza, 
           64500 Donibane Lohizunen igorri.
Jatekoa bakotxak erematen du.
Hitzordua Donibane Lohizuneko autobus geltokian 9ak 30tan eta itzultzea 23 etan berantenez.
Xehetasun geihago izaiteko 06 06 52 19 08 Gaxuxa Elhorga-Dargains deitzenahal duzue.

Nos peintres exposent du 21 au 31 juillet

Plan de Circulation

$
0
0

Attention
Le nouveau sens de circulation autour de la place a été mis en place vendredi dernier

Plan de circulation.PNG

Le porc basque a sa vitrine

$
0
0

 2053882_726_10347379_800x400.jpg

Une soixantaine de personnes étaient réunies à l'inauguration du Parc à porcs basques Suhalmendi jeudi dernier. Le maire de Sare, Jean-Baptiste Laborde-Lavignette (à gauche), était présent pour l'inauguration de cette « vitrine de l'agriculture à ciel ouvert ». photo Juan Palencia 

Photos Jean Pouyet

DSCN6634.jpgDSCN6635.jpgDSCN6636.jpgDSCN6638.jpgDSCN6640.jpgDSCN6645.jpgDSCN6646.jpgDSCN6648.jpgDSCN6650.jpg

 


Les barrages de Leurtza, en Navarre, dans les forêts de hêtres

$
0
0

La Rando de Jean

Chaque mardi, retrouvez une idée de randonnée

décrite par notre expert de Sare, 

Jean Pouyet.

 

Aujourd’hui, les barrage de Leurtza (journal Sud-Ouest).

Leurtza.jpg

Le barrage inférieur en automne (photo Jean Pouyet)

D’Urrotz, la route grimpe aux « embalses de Leurtza ». Deux lacs de barrage se nichent au cœur des forêts de hêtres, dans un lieu magique très bien aménagé, propice aux réunions en famille et aux randonneurs. Un sentier balisé de 3,5 Km permet la découverte du site, de sa faune et de sa flore. La grenouille rousse, petit amphibien, est caractéristique du lieu. La meule à charbon, rappelle la production de charbon de bois. Ce circuit peut être complété par une boucle de 9 Km autour des deux barrages. Les plus sportifs partiront, pour un circuit sportif, de la statue de la grenouille pour arriver au second lac qu’on traverse sur sa digue.

Aux marcheurs.

On prend la direction Zumardena et le sentier (par endroit pavé à l’ancienne) s’élève au-dessus des lacs. Au col de Zumardena, les poteaux invitent à se dérouter pour aller voir le dolmen de Pittortzar. On revient au col pour prendre la direction Gorostieta (GR-12) puis le col d’Uztakorta. Un chemin raide côtoie des pylônes de chasse bardés d’échelles. Le Soratxipi (boîte à messages) est le pic le plus élevé du massif et offre une vue dégagée. Vient un deuxième mamelon puis des poteaux indiquent soit le GR soit le Bonozorrotz, monticule de pierres désagréable à négocier. De là on peut descendre tout droit par la pente raide vers les lacs  et retomber sur le GR en bordure de forêt. A une fourche, les plus costauds poursuivront vers la vallée un sentier de terre noirâtre, bordé de buis, avec en point de mire Beintza Labayen (3 Km) puis un retour de six Km vers Urrotz.

Dantxarienea à Urrotz (27 Kms, altitude : 300 m). Premier barrage (altitude : 670 m). Dolmen (une heure quinze). Col d’Uztakorta (deux heures, 890 m). Soratxipi (deux heures trente, 1069 m) ; Bonozorrotz (trois heures, 1021 m). Retour aux lacs (quatre heures). Beintza Labayen (cinq heures trente). Retour Urrotz (six heures trente). Parcours fléché.

La romeria de retour demain

$
0
0

 romeria - copie.jpg

L’allée des platanes retrouvera son dynamisme d’antan (photo J.P.)

Les commerçants s’étaient réunis il y a peu en une association, l'Union des commerçants et artisans de Sare (Ucas), avec en particulier pour mission « D’accroître l'image et la vie commerciale, de défendre les intérêts locaux en travaillant avec tous les composants économiques du village». Dans cet esprit, un événement qui a animé la place pendant les années passées (il y a plus de cinquante ans), est de retour, la romeria.

Certains se souviennent encore ici des animateurs de l’époque, les frères Semper d’Irun, leur chanteur et leurs accordéons. On servait dans les restaurants des plats goûteux et simples comme l’omelette et le poulet à la basquaise. On dansait tard dans la nuit dans l’allée des platanes, entre les terrasses des restaurants.

DSCN6656 - copie.jpgAinsi le marché des producteurs présent sur le fronton tous les vendredis, sera suivi à l’occasion de cette romeria d’un repas champêtre, typiquement basque, après un apéritif au bar de l’association installé sur le fronton. La soirée sera animée par le pelotari animateur Pampi Laduche et son pianiste Bruno.

Toute la soirée du vendredi 24 juillet, de 19 heures à 22 h, sur la place.

J. Pouyet

La Getaria bucolique

$
0
0

 DSCN6534 - copie.jpg

Le sentier, pas toujours jacquaire, dévoile la beauté d’une côte sauvage (photo J.P.)

De l’office de tourisme, un raidillon pavé mène vers le quartier Akerregi puis à Azkizu au milieu des vignes de Txakoli. La piste borde la ferme Mendi-Txiki, une belle forêt d’Eucalyptus, pour plonger sur le port de Zumaia. Le pont passerelle mène vers la vieille ville et vers une route bordée par un chemin de croix et un ermitage. Après une aire de piquenique, le panneau Deba GR-121 dirige vers la côte, après un bois de résineux.On passe deux portillons pour arriver à la ferme Arantza.Un sous-bois de pins et on descend vers une anse sur les fameuses formations rocheuses en strates verticales, le flysch.Grimpette sur une pente raide herbeuse en observant ces formations géologiques pour arriver au panneau Itxaspe (GI-5001). Un petit sentier descend vers un portail, et arrive sur le panneau Deba GR-121-3,4 Km. La piste grimpe maintenant dans un bois.

A travers champs

Ensuite il n’y a qu’à se laisser porter dans la descente jusqu’à un centre de traitement des déchets suivi d’un raidillon sévère qui finit sur une passerelle en bois, en surélévation sur la route vers Deba. Un détour intéressant, par un sentier face à la passerelle, conduit à travers champs à l’ermitage Santa Catalina. Il y a là un robinet d’eau accolé à un mur ! On continue vers le panneau Deba, non loin de la chapelle, et une piste bétonnée où on se laisse porter jusqu’à l’ermitage San Roque, sa grille en bois, la statue de Saint Roch pour plonger tout droit vers les hauteurs de Deba, puis le centre ville. Les étapes Deba à Markina puis à Guernica sont aussi sublimes avec retour possible en train.

Le parcours de la randonnée

Irun-Getaria, 44 Km, patrie du navigateur Juan Sébastian Elcano (1er tour du monde vers 1847) et du couturier Cristóbal Balenciaga. Départ de l’O.T., parcours jalonné par des flèches jaunes ou par les bornes en bois du chemin jacquaire. Sur la commune de Deba est située aussi la grotte originale Ekain.

Zumaia vieille ville (6 Km, une heure quarante), Arantza (11 Km, trois heures), anse (trois heures trente), Itxaspe (4 heures trente), Catalina (altitude 200 m, 5 heures trente), San Roque (six heures, 21 Km., sans difficultés).

SARE - AOÛT 2015

$
0
0

Tous les lundis 9:00 – 13:00 place FOIRE DE L’ETE : ARTISANAT & CREATION

Tous les vendredis 16:30 -20:30 place MARCHE de Producteurs et Artisans

Tous les mardis 10h Visite du village et 14h30 Visite du clocher de l’église (Office de Tourisme)

lundi 3 août,

19h, Fronton, Partie de pelote : Tournoi de l'été de Joko Garbi (lever de rideau avec main nue)

Buvette et sandwichs

mardi 4 août,

21h , Fronton, Force Basque et spectacle de danses . Buvette et sandwichs

jeudi 6 août,

21h30, Eglise, Chants Basques avec Goraki

samedi 8 août,

18h00, Fronton, Fête du Groupe de Danses Basques : spectacle de danses suivi d’un repas

dimanche 9 août,

18h00 - 23h, Fronton, Marché fermier festif : producteurs du pays - repas à partir des produits

achetés sur place (viande, légume, fromage…) - Bar

lundi 10 août,

19h, Fronton, Partie de pelote : Tournoi de l'été de Joko Garbi (lever de rideau avec main nue)

Buvette, sandwichs

22:00, Grottes de Sare, concert du groupe KALAKAN (en cas de pluie, report au lendemain)

15€ Adulte, 10€ enfants (5 - 17ans). Réservations : Grottes de Sare ou Office de Tourisme de

Sare – places limitées

mardi 11 août,

21h , Fronton, Force Basque et spectacle de danses . Buvette et sandwichs

vendredi 14 août,

16h30 , Fronton, Marché, force basque avec XIBA, repas pintxo (tapas) à partir des produits

achetés sur le marché

samedi 15 août,

19h, Salle polyvalente : Match de hand-ball masculin Irissarry (N2) / Tardets (N3) (5€ à partir de

12 ans). Places limitées, résa 06.31.21.57.92- Buvette, Sandwichs, Taloak

dimanche 16 août,

10h - 22h30, Fronton ou salle, Vide grenier avec buvette - taloas - sandwich

lundi 17 août,

19h, Fronton, Partie de pelote : Tournoi de l'été de Joko Garbi (lever de rideau avec main nue)

Buvette, sandwichs

jeudi 20 août,

21h00, Eglise, Chants Basques avec Ezpeletan Kantuz

vendredi 21 août,

18h30, salle Lur Berri, Conférence sur le livre Larrun la présence de l’homme de la protohistoire à

nos jours de Paul Badiola

samedi 22 août,

Toute la journée, Fronton, Fête du club de Pelote : parties de pelote 11h et 16h et repas ouvert à

tous midi et soir

dimanche 23 août,

19h, Fronton, Force Basque et spectacle de danses. Buvette et sandwichs

jeudi 27 août,

21h30, Eglise, Chants Basques avec Saiberri

dimanche 30 août,

9h30, Fronton, Départ du Cross des Contrebandiers

Ceinture de fer, mines, moulins, nécropole

$
0
0

La Rando de Jean

Chaque mardi, retrouvez une idée de randonnée 

décrite par notre expert de Sare, Aujourd’hui, autour de Bilbao (journal Sud-Ouest).

Jean Pouyet.

 

Où déambuler vers Bilbao ? Au Guggenheim, dans le « casco viejo » ? Pas seulement, si on demeure quelques jours par là. Allez parcourir « la ceinture de fer » de Zierbena au dessus du port de Bilbao. Ce système défensif permit au gouvernement basque de le protéger contre les assauts franquistes par une série de tranchées, bunkers, batteries etc. A Triano, dans les mines de fer romaines exploitées jusqu’au 20è siècle, les constructions paraissent fantomatiques, les cavités sont nombreuses. Sur le quartier El Saúco (et la grotte de la Magdalena) flotte désormais un silence poignant. Le squelette de l'ancien édifice de la compagnie somnole, converti en un fantôme de pierre sans vie.

 

Majestueux Anboto

Au pied de la montagne mythique des basques, le Gorbeia, on peut rêver au fil de l’eau des moulins de Zeanuri. À la fin du 18è siècle, il y avait là 18 moulins et six forges, tous à roues à aubes horizontales. Un itinéraire permet de les découvrir et deux ont été restaurés, Olabarri et Ibargutxi. Près d’Elorrio on peut suivre les traces des premiers chrétiens, dans la nécropole énigmatique d’Argiñeta, et découvrir une vingtaine de sarcophages et cinq stèles, face à l'ermitage San Adrián.

Les montagnards opteront pour une ascension du mont Udalatx, à la silhouette acérée spectaculaire, qui fait face au majestueux Anboto. On monte dans un bois de chênes rabougris, sur un chemin empierré souvent très raide, puis tout est rocaille et pente herbeuse jusqu’aux ruines de l'ermitage d'Udala et à la grande croix sommitale qui domine Mondragon.

 Biscaye

La nécropole d’Argiñeta est l’un des monuments funéraires les plus importants du Pays basque (photo J. Pouyet)

Les parcours des randonnées

Après le Labourd, la Navarre et le Guipúzcoa, un tour en Biscaye.

Irun à Bilbao, 110 Km. A 20 Km de Bilbao, Zierbena, parcours de cinq Km, dénivelée 200 m. Les mines de Triano, depuis le quartier La Reineta, parcours de dix Km, dénivelée 300 m. Zeanuri près d’Elorrio (à 40 Km de Bilbao), parcours de dix Km et aussi la nécropole d’Argiñeta, au-dessus du quartier Zenita ; parcours de quatre Km. Udalaitz (altitude 1120 m) depuis Elegeta (5Km d’Elorrio) et les carrières de Kanpazar : compter sept heures de marche A/R (parcours difficile). Tous ces parcours sont fléchés. 

 

Viewing all 1446 articles
Browse latest View live


<script src="https://jsc.adskeeper.com/r/s/rssing.com.1596347.js" async> </script>